Rencontre parfaite!(PV Whymee et Plume de Feu!)

L’après midi passait tout doucement. Trop doucement. J’étais assis devant cette falaise où le vide s’étendait à mes pattes. Les vagues léchait les rocs qui pointant en dehors de l’eau mais je n’y prêtais pas attention. Je regardais les nuages aussi blancs que ma fourrure en versant ces larmes de tristesse au gout horriblement salé. J’avais passée ma journée à pleurer, pleuré…Hurler à la mort. Solitude de la Chimère n’avait fait que me hanter pendant toute cette journée. Sans doute s’ennuyait-il autant que moi. Je n’avais fait aucune rencontre amusante. Je n’avais fais que penser à mon père, à la façon dont j’avais tuée un chef et un lieutenant et surtout à toi… Léo. Tu me hante… Je t’aime tellement. Mais comment oublier ce que tu m’as fait ? Par ta faute je suis obligée de me balader et de draguer tout les mâles que je vois. Peut être ressemblais-je à cet humain doter d’aile blanche qui rend les gens amoureux d’une seule flèche… Cet être dont tu m’as tellement parlé… En me regardant avec cette étincelle d’envie dans tes yeux… Tu n’a pas donner l’amour dont j’avais besoin et par ta faute j’ère pour le trouver… S’en étais trop. Trop de souvenir douloureux. Je me retournai et d’un bond je me relevai et courus. Je courus jusqu’à l’épuisement. Les larmes redoublait à chaque foulé. Doucement je m’arrêtai et je regardai l’environ. Tout tournait. Les arbres, les fougères. Je crachai furieusement et envoya un boule lumineuse sur un arbre. J’étais en colère. Pourquoi étais-je ainsi ? Je suis peut être bipolaire… Non. C’est juste que j’aie trop de souvenir en tête. Je continuai à marcher jusqu’à déboucher dans une grande prairie. Elle me rappela le jour où tout avait basculé. Du jour au lendemain ma vie s’était tournée vers celle d’une solitaire qui lutte chaque jour pour sa survit. La survit de tout le monde. Au loin j’aperçus un chat au pelage tellement blanc que l’ont pouvait voir les grandes tiges de blé à travers. Plus loin un beau mâle roux marchait en direction du blanc. Il avait un beau lièvre dans la gueule se qui me fit saliver. Je n’avais pas mangée depuis hier soir… Peut être étais-ce une chance d’avoir courus ainsi. Je m’approchai doucement. Quand je fus assez près du mâle roux je vue qu’il s’était arrêter. Il avait sentie ma présence alors je m’avançai encore un peu et m’assis. Je levai une patte et commença à la lécher tout en fermant les yeux. Son ronronnement s’était tus alors je descendis un peu ma patte et ouvrit les yeux. Mes beaux yeux violets qui foudroient toujours les mâles quand ils les aperçoivent…
« Pourquoi arrêtes-tu ta mélodie ? Elle est si…Plaisante. » Dis-je d’un vois sensuelle.